DNA du jour

Rien à se reprocher
SAINT-DIÉ 29
SAINT-LOUIS 18
Mi-temps : 19-6.
SAINT-DIÉ : 2E (4e', 71e'), 2T (4e', 71e'), 1D (9e'), 4P (15e', 24e', 30e', 65e').
SAINT-LOUIS : 5P : Febvet (8e', 41e', 49e', 60e', 70e'), 1D : Febvet (11e').
Malgré leur défaite hier sur le terrain de Saint-Dié (29-18), les Ludoviciens accrochent la troisième place et se qualifient donc pour les phases finales de Promotion.
« Nous finissons à la troisième place ce qui est donc tout a fait conforme à nos objectifs de début de saison », explique l'entraîneur Michel Illères. Dans ce match, nous n'avons rien à nous reprocher. Saint-Dié mérite sa victoire. »
Effectivement, les Vosgiens entament le match en trombe. Il ne leur faut que quatre minutes pour aplatir et transformer le premier essai. Malgré l'adresse habituelle de Febvet au pied, les Haut-Rhinois sont menés de 13 points lorsque l'arbitre siffle la mi-temps.
« Saint-Dié a été beaucoup plus fort devant. Nous avons réussi à limiter la casse derrière mais cela n'a pas suffi », explique le coach. Pourtant, à coup de pénalités, les coéquipiers de Blans rattrapent leur retard dans le deuxième acte, mais les locaux parviendront à marquer un essai en fin de match, la faute à deux cartons jaunes infligés à Saint-Louis, réduisant ainsi l'équipe à treize joueurs.
Mais l'essentiel est acquis pour les Ludoviciens. Cette troisième place leur permet de valider leur ticket pour les phases finales.

RC MULHOUSE 28
LONGWY 20
Mi-Temps : 5-13.
MULHOUSE : 5E : Bayol, Stressos, Birouk, Brigand, Rabiega. 1P : Charbon.
LONGWY : 3E, 1T, 1P.
Le RC Mulhouse a idéalement terminé la saison devant son public en s'imposant 28-20 face à Longwy. « Cela fait toujours plaisir de finir sur une bonne note. Il va falloir maintenant se concentrer sur la saison prochaine », explique l'entraîneur Yannick Agulo.
Le début du match est cependant difficile pour les Alsaciens qui encaissent deux essais et une pénalité en première période portant le score à 5-13 à la mi-temps, malgré un essai de Bayol pour les locaux.
C'est en deuxième mi-temps que la dynamique mulhousienne va se mettre en marche grâce à l'entrée en jeu de nombreux juniors. « Charbon, Lanzilotti, Leclerc, Burger... Tous ses juniors auront leur place en équipe première la saison prochaine », explique Yannick Agulo qui sera pour sur toujours aux commandes des Jaunes et Noirs la saison prochaine.
Quatre essais seront marqués tandis que les visiteurs ne parviennent plus à imposer leur marque comme dans le premier acte. « Avec les juniors, la Mayonnaise a bien pris. C'est de bon augure pour la saison prochaine », estime le coach.
Quoi qu'il en soit, une quinzaine de juinors integreront l'équipe fanion la saison prochaine afin de permettre au club haut-rhinois de retrouver le haut du tableau en Honneur.

Le Mom n'est pas mort
MUTZIG OV. MOLSHEIM 27
DIEULOUARD 3
Mi-temps : 17-0. Arbitre : M. Stien.
Pour ce dernier match de la saison, le Mom avait bien l'intention de prouver à tous que son avant-dernière place n'était pas le reflet de son véritable potentiel. Quarante-trois joueurs s'étaient mobilisés ce dimanche pour répondre présent mais malheureusement Dieulouard n'a pas pu aligner deux équipes.
L'entame du match fut pour le Mom, bien décidé à montrer toute l'étendue de son rugby. A la 10e', Dieulouard mis sur le reculoir offre une pénalité à 40 m transformée par Loïc Helm, 3-0. Mutzig continue son pressing et, suite à de nombreux pilonnages de ses avants, voit ses trois-quarts envoyer le ballon jusqu'à l'aile pour un essai en débordement de son ailier Jérémy Armbruster (24e'). Transformation Loïc Helm 10-0.
A la 35e', sur une touche pour Dieulouard récupérée par le Mom, Eric Merret sur un coup de pied décroisé judicieux offre le deuxième essai à Jérémy Armbruster transformé par L. Helm : 17-0.
Dieulouard fait rentrer devant l'ancien entraîneur alsacien, Eric Montuelle espérant déstabiliser le pack bruchois. Du coup, pendant les dix premières minutes de la deuxième mi-temps, Dieulouard développe son jeu, arrive à faire douter le Mom et marque ses premiers points sur pénalité : 17-3.
Mutzig aurait encore pu marquer par deux fois toujours par J. Armbruster mais malheureusement les actions n'auront pas été validées. A la 75e', suite à un débordement d'Adrien Paschana qui retrouve Loïc Helm à son intérieur, le Mom marque de nouveau, 22-3. Le match se termine sur de nombreuses pénalités alsaciennes dans les 22 de Dieulouard et un dernier essai de Nicolas Sechaud, 27-3.
Un beau match pour les deux équipes, un bel état d'esprit, un bel après-midi de rugby. Que de regrets au vu de ce dernier match mais que de promesses si le Mom se maintenait en division d'honneur.

Colmar coule Nancy
NANCY/SEICHAMPS 16
COLMAR RC 19
Mi-temps : 7-6. 250 spectateurs.
La marque : 1 E : Mottet (33e'). 1T : Goupil. 2 P : Goupil (48e'), Charpe (67e'). 1 D : A. Claudel (29e') pour Nancy.
1 E : collectif (76e'). 1 T : Munschi. 4 P : Munschi (12e', 27e', 43e', 61e').
Des Colmariens qui se sautent dans les bras en poussant des cris, des joueurs de Nancy-Seichamps le regard bas, K.-O. debout. Le contraste était saisissant mais comment pouvait-il en être autrement entre deux équipes jouant leur maintien ?
Le malheur aura donc voulu que ce soit Nancy-Seichamps qui perde ce match capital et par la même occasion sa place en Fédérale 3 un an après avoir retrouvé cet échelon.
Ce dont l'équipe du président Robert était certaine avant le match, c'est qu'un succès avec plus de sept points d'écart était l'assurance absolue de repartir en Fédérale 3. Mais hier, les hommes du tandem Bey-Brunetti n'ont pas réussi à se mettre à la hauteur de l'événement ou seulement par intermittence.
Quand le club avait passé pour la première fois devant à la demi-heure de jeu après avoir été mené 6-0 sur deux pénalités de Munschi, le public nombreux (250 spectateurs environ) de Matter s'était dit que le plus dur était peut-être fait. En interceptant avec plein d'à-propos un ballon décalé colmarien, Mottet s'était fait la belle pour aplatir au milieu des poteaux après une course de 60 mètres (10-6). Nancy-Seichamps semblait tenir le bon bout à la pause d'autant que le club lorrain avait évolué contre le vent.

Munschi décisif


Mais alors que le match tournait au duel de buteurs, Munschi répondant à deux pénalités de Goupil et Charpe (16-12, 67e') et que la tension allait crescendo, Colmar progressait dans le camp lorrain et se rapprochait dangereusement pour ne plus être qu'à cinq mètres de la ligne d'enbut.
Arc-boutée sur sa ligne, la défense tentait de contenir le pack alsacien, mais après avoir freiné un premier assaut, il ne pouvait rien faire sur le second (16-19, 76e') ! A moins de cinq minutes du terme, cela sentait le scénario catastrophe.
Alors forcément, Nancy-Seichamps mettait toute son énergie pour inverser le cours d'une sale histoire. Mais même en supériorité numérique (un Colmarien avait écopé d'un rouge à un peu plus de dix minutes du terme), il commettait une faute au sol avant de perdre un ballon en mêlée alors qu'il avait eu l'introduction.

Une mi-temps, c'est tout
Défaite sans conséquence des Strasbourgeois à Vitry-sur-Seine. En 32es de finale des play-off, le Racing devrait affronter le Paris UC.
ES VITRY 37
RC STRASBOURG 14
Mi-temps : 13-14. Stade Gabriel-Péri. 100 spectateurs environ. Arbitre : M. Dauce (Bretagne). Cartons blancs : Alvarez (18e') à Vitry ; Tisané (24e', 66e') à Strasbourg. Cartons jaunes : Tio (46e') à Vitry ; Heitz (46e') à Strasbourg.
La marque : 4 E : Mauduit (19e'), Ferrari (51e'), Fleveau (55e'), collectif (78e'). 4 T, 2 P : Roland(4e' et 36e') 1 D : Roland (44e') pour Vitry.
2 E Jursik (16e'), Broncquard (40e'+4) ; 2 T Kriegel pour Strasbourg.
VITRY : Tio, Alvarez, Gauche - Fleveau, Basdevant - Delplanque, Ferrari, Gane - (m) : santinho, (o) : Raujol - Roussel, Tyburn, Mauduit, Ouychchi - Roland.
STRASBOURG : Vincent, Amrani, Fernandez - Saïb, Lavigne - Broncquard, Weiss, Tisané - (m) Vairy, (o) Kriegel - Dupin, Caro, Jursik, Lavaka - Mahieu.
De nouveau placée en toute fin de calendrier comme lors de la saison dernière, cette rencontre ne revêtait pas la même importance pour les deux équipes. Déjà qualifiés, les Alsaciens ont profité de ce balbutiement de l'histoire pour faire « souffler » certains cadres en vue de la phase finale.
A l'inverse les Vitriots, qui présentaient au coup d'envoi le meilleur dossier pour valider le dernier sésame, étaient bien décidés à confirmer leur succès de l'aller. Ils ouvraient d'ailleurs la marque rapidement par leur buteur Roland sur une pénalité aux 30 mètres en face.

Jursik était le plus prompt
pour aplatir dans l'en but


Bien décidés à ne pas s'en laisser compter, les Strasbourgeois prenaient l'avantage peu après le quart d'heure de jeu. Kriegel dans les 22 mètres adverses, jouait au pied par-dessus la défense val-de-marnaise et, Jursik était le plus prompt pour aplatir dans l'en but à droite en moyenne position. Kriegel bonifiait (3-7).
Voulant relancer à la main depuis leurs propres 22 mètres, les Alsaciens se faisait intercepter le ballon par Mauduit qui plongeait au milieu des perches : 10-7. Vitry aggravera l'écart sur la pénalité aux 20 mètres en face de Roland : 13-7. Le Racing reprendra les commandes au bout du temps additionnel.
Après plusieurs groupés pénétrants dans les 22 mètres vitriots sur la gauche arrêtés de justesse, Broncquard parviendra à franchir la ligne blanche, bien aidé par tout les avants visiteurs. Malgré la moyenne position, Kriegel ajoutait les deux petits points qui permirent au Racing de virer en tête à la pause.

L'avantage bas-rhinois
allait très vite fondre


L'avantage bas-rhinois allait très vite fondre après les citrons. Roland (monsieur 45% vitriot, hier après-midi) passait tout d'abord un drop : 16-14 (44e'). Puis, Strasbourg craquait à deux reprises sur son flanc droit en l'espace de cinq minutes. Ces deux essais véritables « copier-coller », transformés par l'inévitable Roland, relèguèrent le Racing seize points derrière peu avant l'heure de jeu : 30-14. Même si un essai fut refusé à Lavaka pour un en avant dans la dernière passe (60e'), Vitry tenait sa victoire. Les banlieusards parisiens ajouteront un dernier essai en toute fin de partie sur un bel effort collectif des avants. En barrages, les Alsaciens devraient affronter le PUC.

donc Haguenau, Metz et nancy descendent!!
Si St Dié ne gagne pas son match de barrage ce week end, j'ai peur qu'il y ait 3 voir 4 descentes...

Ben en tous cas, ca va donner une poule sacréement relevée....

1.METZ
2.HAGUENAU
3.NANCY
4.CRIG
5.ST LOUIS
6.MULHOUSE ( GROSSE EQUIPE ANNONCEE )
7.TYGRE
8.LONGWY
9.DIEULOUARD
10.THANN
11. ST DIE ( en attente )

a mon avis ils vont faire une poule de 12

Le bonheur est total
• PONT-A-MOUSSON BAT ILLKIRCH 53-11.
Pont-à-Mousson : 8 essais : Leroy (9'), Mansion (13'), Thiery (28'), Didelon (60', 73', 77' et 79'), Meurgue (76'). 5 transformations : Cordonnier(13', 60', 73', 76' et 79'). 1 pénalité : Cordonnier (5').
Illkirch : 1 essai : Kigoni(35'). 2 pénalités : Pieronni (24' et 40').
PONT-A-MOUSSON._ Les Mussipontains voulaient terminer cette phase régulière en beauté. Afin d'offrir un dernier succès à François Mansion, leur capitaine emblématique qui disputait là son dernier match à l'île d'Esch avant de goûter à une retraite sportive bien méritée. Ses camarades de jeu ont en tout cas rempli leur contrat en atomisant le quinze alsacien au terme d'un match de bonne facture.
D'autant plus que les choses débutaient de la meilleure des manières avec une pénalité passée par Cordonnier(5'). Le tout suivi d'un essai en force inscrit par Leroy(9') avant de voir « Tracteur », le héros du jour, s'échapper comme un gamin pour un second essai de vieux briscard(15 à 0 à la 13').
On se disait alors que les Mussipontains avaient fait le plus difficile avant de voir les Alsaciens se rebiffer en reprenant le jeu à leur compte. Ces derniers s'appuyaient sur un vent favorable pour réussir à revenir au score à la suite d'une pénalité de Pieronni (24'). Les locaux n'étaient pas en reste à l'image de cette percée de Thiery pour un nouvel essai tout en vitesse (28').
De quoi donner de l'air aux Lorrains avant de connaître une fin de première période plus délicate en encaissant notamment un essai de Kigoni (35') puis une pénalité de Pieronni (40'), si bien que la rencontre était totalement relancée à la pause (20-11).
Du moins pendant une vingtaine de minutes avant de voir le rouleur compresseur des hommes de Kevin Kessler se mettre en marche. Sur la première action construite de cette seconde période, Didelon s'envola comme une fusée pour aller inscrire son premier essai personnel.
Ce sera le début du show de Didelon qui ajouta trois autres essais (73', 77' et 79'). Entre temps, Meurgue avait connu la même réussite (76') pour signer au final la plus large victoire de la saison. Quel feu d'artifice !

Pierionni???
Le résultat de la fusion entre Pierquin et Speronni???
Comme dans Dragon Ball Z?

que dire de Kigoni??

Citation :

Citation :

Citation :

Devant on les à croqués, mais en 3/4 ils était beaucoup mieux organisés.

Notre objectif était de jouer avec maximum 3 mecs dans toutes les confrontations avec l'adversaire , raison de votre sentiment de supériorité dans les zones d'affrontements.

Ah? En touche et en mélée aussi vous étiez que 3? ^^

Mais c'est vrai que y'avait du soutien des avants en 3/4, on avait d'autre consignes et on a pas été clairvoyant la dessus.

Notre "sentiment" de supériorité devant... mouhahahaha

f*cking journalistes, et qu'on me dise pas que c'est pas fait exprès là...